Notre Combat - Dailylama

Chez Dailylama, nous nous engageons chaque jour dans un projet respectueux de notre environnement et de notre communauté.

C’est la raison pour laquelle tous nos bracelets sont faits à la main par des tisseuses de la tribu Lisu, dans la région de Chiang Mai.

Toutefois, notre combat est aussi de favoriser la biodiversité.

Pour chaque bracelet bouddhiste que nous vendons, nous remettons 1 € à une association qui lutte pour le respect de la nature et favorise l’éducation en Thaïlande.

Les volontaires s’impliquent notamment dans la création d’infrastructures scolaires et enseignent même l’anglais dans certaines écoles.

Vous l’aurez donc compris, chez Dailylama, notre combat fait partie intégrante de notre entreprise.

Quand fane la célèbre Rose du Nord

Chiang Mai est la sixième plus grande ville de Thaïlande, souvent surnommée la « Rose du Nord ».

Reconnue pour les paysages exceptionnels de sa région, cette capitale se transforme malheureusement chaque année, au printemps.

De janvier à avril, de gros nuages de pollutions envahissent effectivement ce cadre idyllique, lors de la fameuse « Burning Season ».

En fait, cette saison est particulièrement sèche pour le nord de la Thaïlande. Les températures grimpent en flèche pour les habitants et les paysages grandioses ne bénéficient que de très peu de précipitations.

Malgré les interdictions, les agriculteurs déclenchent alors des feux de forêt afin de fertiliser leurs terres.

Cette technique, très peu respectueuse de l’environnement, se nomme l’agriculture sur brûlis. Elle consiste en fait à défricher les terres par le feu, afin que les cendres deviennent de l’engrais.

Néanmoins, vous comprendrez qu’il s’agit d’un procédé dangereux, pour la biodiversité comme pour les communautés locales.

Le caviar de la Thaïlande

Si la fameuse Rose du Nord semble faner au printemps, ce n’est pas uniquement à cause de l’agriculture sur brûlis.

En effet, certains cultivateurs déclenchent leurs feux de forêt dans un but très précis : trouver de l’Hed Thob. Il s’agit d’un champignon particulièrement apprécié par les Thaïlandais, à l’image de nos truffes.

En faisant brûler plusieurs hectares de boisés, les agriculteurs les trouvent plus facilement.

On surnomme d’ailleurs ce champignon le « caviar de la forêt », puisqu’il se vend entre 300 et 600 baths le kilogramme (entre 9€ et 18€) durant la haute saison.

Comme vous l’aurez certainement deviné, il ne pousse qu’au printemps, de manière plutôt rapide. Pour un agriculteur, la revente de ce champignon peut alors représenter une belle augmentation de salaire.

Certains parviennent même à doubler leur chiffre d’affaires, grâce au commerce d’Hed Thob.

Mettre fin au fléau

Le printemps représente donc un réel fléau pour la région de Chiang Mai. Les feux de forêt se multipliant, la ville est aux prises avec de larges nuages de pollution.

De plus, ces incendies endommagent évidemment la biodiversité locale. Pour les communautés thaïes comme pour l’environnement, cette saison est particulièrement néfaste.

C’est la raison pour laquelle le gouvernement thaïlandais tente en vain de soumettre les agriculteurs à des amendes, s’ils démarrent des feux de forêt.

De la même manière, des chercheurs de l’université de Chiang Mai ont mis en place un système de purificateurs d’air afin d’absorber les particules fines.

Certaines associations s’engagent également à planter des arbres et sensibiliser les cultivateurs aux conséquences du brûlis.

Notre combat

Puisque nous vivons à Chiang Mai, notre engagement à travers Dailylama est de contribuer à l’économie locale, mais aussi respecter l’environnement.

C’est pourquoi nous contribuons activement à la mission des associations de Chiang Mai.

Pour chaque bracelet acheté, 1€ est remis à cette association dans le cadre d’une repopulation des forêts de la région et d’une plus grande sensibilisation des agriculteurs. L'association s’engage effectivement à planter des arbres, encourager la reforestation et protéger la biodiversité du nord de la Thaïlande.

Mais leur mission ne s’arrête pas là, puisque leurs volontaires essaient d’informer chaque jour les cultivateurs sur les ravages du brûlis.

L’association offre aussi du matériel de culture aux agriculteurs sensibilisés, afin qu’ils puissent eux-mêmes faire pousser leur Hed Thob.

Les associations locales tentent de contribuer au développement économique de la région, en plus d’apporter leur aide pour protéger l’environnement. L’association soutient effectivement le droit à l’instruction et finance plusieurs projets scolaires.

Elle encourage également le tourisme écoresponsable, notamment dans les montagnes de la région.

Ainsi, l'association espère aider les populations à développer de nouvelles sources de revenus, créer de nouveaux projets et devenir plus autonomes.

À travers notre combat, nous nous engageons donc pleinement pour la région dont nous sommes tombés amoureux. Nous vous remercions donc pour votre soutien dans ces projets qui nous tiennent à cœur.